2- Please don't bury me (John Prine)
3- Christmas in prison (John Prine)
4- Dear Abby (John Prine)
5- Blue umbrella (John Prine)
6- Often is a world I seldom use (John Prine)
7- Onomatopeia (John Prine)
8- Grandpa was a carpenter (John Prine)
9- The accident (Things could be worse) (John Prine)
10- Mexican home (John Prine)
11- A good time (John Prine)
12- Nine pound hammer (Merle Travis)
Reggie Young: Electric guitar,acoustic guitar
Steve Goodman: Electric guitar, acoustic guitar, harmony vocals
David Briggs: Piano, organ
Mike Leech: Bass
Kenny Malone: Drums
Cissy Houston: Background vocals
Deirdre Tuck: Background vocals
Judy Clay: Background vocals
John Christopher: Acoustic guitar
Dave Prine: Dobro, abnjo
Raun McKinnon: Harmony vocals
Grady Martin: Dobro, acoustic guitar
Jerry Shook: Harmonica
Steve Burgh: Electric guitar, acoustic guitar
Kenny Ascher: Electric piano
Hugh McDonald: Bass
Steve Mosley: Drums
Ralph McDonald: Percussion
Bill Slater: Percussion
Doyle Grisham: Steel guitar
Bobby Wood: Piano
Arif Mardin: Horn Arrangements
Produit par Arif Mardin
"Sweet Revenge" est le troisème volet de la trilogie magique de John Prine. Il marque la fin d'un cycle, comme on le constatera par la suite. C'est le disque le plus country de John pour cette première moitié des seventies. Il a d'ailleurs été, dans sa grande majorité (9 titres sur 12), enregistré à Nashville, avec des musiciens locaux.
"Sweet Revenge" confirme que John Prine fait partie des plus grands songwriters de son temps, les mélodies sont tout autant inspirées que les textes. L'humour, toujours teinté d'auto-dérision et de second degré tient encore dans ce disque une place importante comme le démontrent plusieurs titres: "Onomatopeia", "The Accident" ou le désoplilant "Dear Abby", enregistré en public.
Il y a aussi la reprise de "Nine Pound Hammer", de Merle Travis qui permet à Steve Goodman de montrer encore une fois son talent à la 6 cordes.
"Grandpa Was A Carpenter" est un portrait plein d'amour et de nostalgie. D'autres belles ballades: "Christmas In Prison", "A Good Time" et "Mexican Home" donnent la tonalité générale de cet album, qui balance toujours entre humour et tendresse, quand les deux ne sont pas réunis dans le même titre.
Je garde pour la fin deux morceaux. Il y a d'abord le morceau titre qui a donné son nom à ma nouvelle rubrique mensuelle sur Xroads (qui trouvera d'ailleurs un prolongement, prochainement, ici-même).
Et puis il y a "Blue Umbrella" qui rappellera à certains le titre de mon autre blog et qui, pour moi, reste une des plus belles chansons d'amour (ou de rupture) du vingtième siècle, à jamais dans mon top 10 personnel, avec ces mots superbes:
"Feelings are strange
Especially when they come true
And I had the feeling
That You would be leaving soon
...
Blue umbrella rest upon my shoulder
Hide the pain
While the rain
Makes up my mind
...
Just give me one good reason
And I promise I won't ask you anymore
Just give me one extra season
So I can figure out the other four"
... à suivre avec "Common Sense", bientôt...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire